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MacWorld : arrivée à San Francisco

À l’occasion de la MacWorld 2008, deux de nos rédacteurs, Frédéric (Eirefred sur les forums) et Jean-François, seront sur place pour nous livrer leurs impressions de l’événement. Commencons aujourd’hui avec Fred.

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Dans deux jours c’est le lancement de la MacWorld Expo.

Arrivé aujourd’hui à San Francisco, je sors ma plume pour rédiger une série d’articles afin de vous tenir au courant de tout ce qui se passera dedans et autour du MacWorld. Du même coup, je vais essayer de vous faire découvrir un petit peu de la ville de San Francisco.

Départ d’Ottawa samedi matin à 6 h 15 . Transfert à Montréal où je rejoins mes compagnons de voyage, Jamie Grace, Dax Silva et Mike Battat de XSilva, Julie Gagné, directrice du marketing chez B.Mac et Charles-Hugo Couillard, propriétaire du Mac Urbain. XSilva m’a d’ailleurs convié à une soirée cocktail en tant que membre de l’équipe MacQuébec au nom de qui je les remercie pour cette invitation.

Arrivé à San Francisco à 11 h 40 (heure locale), le soleil est présent ainsi qu’une douce chaleur de 15 degrés. Je prends le BART (métro de banlieue) depuis l’aéroport jusqu’au centre-ville afin de rejoindre l’hôtel et y déposer mes bagages.

Julie et Charles-Hugo étant de bons amis, nous décidons tous les trois de participer à l’événement et visiter San Francisco ensemble. Le compte-rendu de mon séjour là-bas sera aussi un peu le leur.

Arrivés au centre-ville de San Francisco en début d’après-midi, et après avoir mangé, nous arpentons Market Street (une des rues commençantes) pour visiter quelques boutiques et surtout dénicher un Apple Store.

Souvent dépeint comme une station balnéaire avec ses maisons colorées et en rangées, le centre-ville de San Francisco affiche peu de signes extérieurs de richesse et ressemble au contraire à tous ceux que l’on retrouve au Canada avec son cortège de sans-abri qui témoigne d’une certaine pauvreté.

La chose qui nous a le plus surprise, c’est l’omniprésence des cafés Starbucks, visibles sur le coin de chaque grande rue. S’il vous prend l’envie de boire un bon café, sachez que vous n’êtes jamais plus qu’à cinq minutes de marche d’un Starbucks.

Après un arrêt pour vérifier sur la carte où se trouve l’Apple Store, nous nous retournons et voyons, sous nos yeux ébahis, la gigantesque pomme illuminée.

En tout point semblable à celui de Soho à New Yord, l’Apple Store de San Francisco possède lui aussi un escalier de verre, des tables en bois, une salle de conférence et un Genius Bar.

En voyant l’iPhone, je me précipite dessus afin de pouvoir dire que j’en ai eu un en main. Je navigue avec sur le web et m’en sers comme iPod. Convaincu que l’accès aux réseaux téléphoniques n’est pas permis, je tente malgré tout de passer un coup de fil. À ma grande surprise, j’arrive à établir la communication à mes amis au Canada sans le moindre problème. Après avoir interrogé un vendeur, nous apprenons que les Apple Store américains laissent aux gens la possibilité de téléphoner, et donc de tester l’iPhone dans les moindres détails. Une chose très appréciable.

Profitant des largesses d’Apple, nous retournons trois fois à l’Apple Store pour téléphoner. Plus pratique qu’un téléphone public, moins cher, et plus agréable.

À la tombée de la nuit, nous décidons de filer au centre Moscone Center, où se tiendra le MacWorld. De l’extérieur, on peut voir une grosse affiche sur laquelle est écrit « There’s is something in the air » (il y a quelque chose dans l’air).

L’emplacement est impressionnant avec tous ces bâtiments prêts à accueillir l’exposition. C’est presque un quartier à lui tout seul qui est réservé pour recevoir tous ces participants qu’on devine à l’avance très nombreux.

Même si Cupertino est situé en banlieue de San Jose, Apple semble extrêmement bien implantée à San Francisco, qui se trouve à une soixiantaine de kilomètres de là. De partout sont visibles de publicités pour l’iPod.

On trouve même des distributeurs automatiques qui ne contiennent aucun sac de chips ou barres chocolatées, mais des iPod nano (deuxième génération) ainsi que d’autre accessoires marqués de la pomme.

Comme nous sommes tout près du Chinatown (le plus grand d’Amérique du Nord selon les guides touristiques), nous décidons de nous y arrêter pour souper. Nous choisissons un restaurant au troisième étage d’un immeuble qui donne une vue splendide sur la ville. Chose incroyable, au moment de passer la commande, le serveur nous demande d’ajouter des choses au menu, car le restaurant refuse de servir si le prix total de la facture est moins de 15 dollars par personne. Ni moi, ni mes deux compagnons, n’avons rencontré pareille chose! J’ignore si c’est une procédure courante aux États-Unis, mais je me vois mal aller dans un Apple Store pour faire l’achat d’un iPod et me faire dire que je dois aussi acheter un iMac pour avoir droit au baladeur.

Voyons de quoi demain sera fait. Probablement une visite des principaux sites de San Francisco. Restez à l’écoute! Je vous reviens bientôt pour la suite de nos aventures.

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